L’eau H2 hydrogénée
En observant l’origine des effets positifs de l’eau ionisée produite par les ioniseurs d’eau, le Prof. Ikuroh Ohsawa a étudié au Japon en 2005 l’effet antioxydant de l’hydrogène et a publié ses recherches en 2007 dans le magazine « nature medicine » :
« L’H2 peut être utilisé à des fins de traitement antioxydant. Grâce à sa capacité à franchir rapidement les membranes, il atteint les radicaux libres d’oxygène toxiques pour les cellules, entre en réaction avec elles et les protège ainsi de lésions oxydatives. »[1]
Au Japon, en Corée et en Chine et plus récemment aux États-Unis, l’hydrogène fait l’objet de recherches intensives et apporte une nouvelle dimension dans les traitements, la prévention générale en matière de santé, l’amélioration des performances physiques dans le domaine du sport et à des fins cosmétiques.
En janvier 2016, le Prof. Garth L. Nicolson de l’Institut de médecine moléculaire Huntington Beach, USA, a publié une méta-étude de 44 pages dans laquelle il évalue plus de 300 études et où il décrit l’effet global de l’hydrogène moléculaire sur les « personnes souffrant de problèmes métaboliques, rhumatismaux, cardiovasculaires, neurodégénératifs et d’autres maladies, mais aussi d’infections et de lésions physiques provoquées par des radiations, ainsi que ses effets sur le vieillissement et l’activité sportive ».
Sa conclusion : « L’hydrogène moléculaire s’est avéré être un antioxydant d’un nouveau genre, efficace et simple d’utilisation et démontre qu’il est aussi performant en cas de lésions cellulaires provoquées par un stress oxydatif et des lésions génétiques qui en résultent. »
et : « Nos analyses ont démontré que l’utilisation médicale de l’hydrogène moléculaire n’est pas seulement prometteuse en matière de traitement d’affections aiguës et chroniques, mais qu’elle a aussi une action préventive sur la santé. »[2]
L’hydrogène dans la nature
Existe-t-il de l’eau riche en hydrogène dans la nature ?
Oui, les « grandes » sources thermales ont un point commun ; leur eau contient de l’hydrogène dissous. Les scientifiques japonais et coréens étudient des sources thermales du monde entier et sont arrivés aux résultats suivants :
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Source thermale de Tlacote, Mexique : 200 ppb d’hydrogène
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Source thermale de Nordenau, Allemagne : 420 ppb d’hydrogène
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Source thermale de Lourdes, France : 800 ppb d’hydrogène
Ainsi, les « guérisons miraculeuses », hors aspects vibratoires, spirituels, religieux, ….., que l’on attribue en particulier à la source thermale de Lourdes ont également une explication scientifique crédible.
Hydrogène = Energie !
Bon nombre de produits vendus comme compléments alimentaires ont pour objectif de fournir plus d’hydrogène au corps et ainsi d’améliorer les performances physiques et mentales, à l’instar du NADH, le « transporteur d’hydrogène » du corps.
L’hydrogène est le « carburant des cellules », le cycle de Krebs (cycle d’acide citrique) dans les mitochondries ne sert qu’à mettre une quantité suffisante d’hydrogène à disposition, ce qui produit de l’ATP = Energie. L’eau hydrogénée met de grandes quantités d’hydrogène à disposition immédiate du corps ; l’hydrogène est la plus petite molécule qui franchit sans difficulté toutes les membranes du corps, comme, par exemple, la barrière hématoencéphalique ; on le retrouve (prouvé scientifiquement) immédiatement dans le cerveau, dans les noyaux cellulaires et dans les mitochondries.
De l’hydrogène est produit à partir de glucose et de graisse dans les mitochondries
schema-mitochondries
[1] Ohsawa, I., et al : Hydrogen acts as a therapeutic antioxidant by selectively reducing cytotoxic oxygen radicals, Nat.Med 2007
[2] Nicolson, G.O., et al : Clinical Effects of Hydrogen Administration : From Animal and Human diseases to Exercise Medizine, International Journal of Clinical Medicine 2016
De plus amples informations sur le contexte scientifique figurent entre autres sur la page de l’IFOS : www.wasserstofftherapie.de